C’est une sacrée surprise que les riverains du projet immobilier du 30 rue Hélène BOUCHER ont eue en ce week-end de l’Ascension.
Alors que les délais de recours du second permis (le premier ayant été dénoncé dans un recours gracieux) concernant le projet de construction d’un immeuble en centre-ville ne sont pas purgés, ils ont eu la surprise, en ce samedi, de voir des tractopelles entrer en action.
C’est avec stupeur et à quelques mètres à peine des fenêtres de leurs chambres que les voisins ont pu assister impuissants à la préparation du chantier de construction qui démarre par l’arrachage des arbres et des plantations.
Comment ce chantier a-t-il pu démarrer, alors même que le permis de construire n’est pas délivré ?
Le chantier tant redouté va-t-il se dérouler tous les samedis au fond de leur jardin ?
Les propositions d’aménagement réclamées par les riverains (mur de séparation) ont-elles été actées avec le promoteur ?
Autant de questions restées sans réponse, les services municipaux étant fermés et les élus injoignables en ce week-end estival propice à la quiétude familiale.
De toute façon, n’avait-elle pas dit aux riverains : « nous devons faire ce projet rapidement, nous sommes pressés. »
Cet épisode de la gestion municipale fait suite à celui du cimetière, des terrains de Padel et à la réfection de la rue Hélène Boucher, sujets dans lesquels, là-aussi, il faut faire vite, que cela plaise ou non.
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